Chronique du 115.Une Histoire du SAMU SOCIAL




Не забывайте о том, что Вы переводите текст иллюстрированных историй (BD)-продумайте стилистику Вашего текста.

Номинации конкурса и форма выполнения перевода:

- лучший перевод, выполненный РОССИЙСКИМ СТУДЕНТОМ, изучающим ФРАНЦУЗСКИЙ язык как иностранный

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A vos plumes, chers traducteurs et chères traductrices!

 

Chronique du 115.Une Histoire du SAMU SOCIAL

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1. Rue des Pyrénées – le 10 juillet 2015  
2. J’appelle le service communication du Samu Social de Paris  

 

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1. ---  
2. Bip bip bip  
3. Oui? allo?  
4. Bonjour! je vous appelle concernant mon projet BD  
5. Oui! j’ai bien votre dossier, mais on ne comprend pas bien votre démarche...  
6. Ah...  
7. Je voudrais réaliser une enquête sur le Samu Social du coup je voulais vous demander si je pouvais venir en observation chez vous...  

 

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1. Vous savez… c’est très rare que l’on accueille des journalistes et on le fait seulement dans des cas exceptionnels…  
2. C’est comment le nom de votre éditeur déjà?  
3. Steinkis  
4. Mais donc, si j’ai bien compris vous voulez faire une BD institutionnelle?  
5. Euh non pas vraiment je voudrais plutôt faire une sorte de documentaire en BD…  
6. OK. Il faut que j’en parle à ma direction je vous rappelle  
7. Super. Merci!  
8.    

 

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1. Métro alésia 5 août 2015  
2. Je rencontre pour la première fois Xavier Emmanuelli…  

 

 

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1.    
2.    
3.    
4.    
5. Bonjour  
6. Ah! Monsieur Emmanuelli… Bonjour…  
7. Venez J’ai pris une table au fond ce sera moins bruyant  

 

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1. Qu’est-ce que ça sera aujourd’hui monsieur?  
2. On se prend un demi de vin noir...  
3. Ah, et puis de la glace  
4. Moi maintenant je mets de la glace dans mon vin  
5. Puis je vais prendre des calamars et des crevettes à la provençale  
6. Aude, qu’est-ce que vous prenez?  
7. Heu... dictaphone de pro  
8. Oui, pardon...  
9. Le poulet, s’il vous plait  
10. Bien, je vous apporte ça  

 

 

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1. ---  
2. Le Samu Social, c’est une création personnelle  
3. C’est devenu un terme générique et je suis content  
4. C’est quand même une réussite...  
5. ...Il est lié à mon parcours personnel...  
6. Je vais vous expliquer en trois mots pour que vous compreniez d’où ça vient  
7. Quand j’ai commencé ma carrière, j’étais médecin d’urgence à la marine marchande  
8. ... puis j’ai continué dans l’urgence au moment où naissait le Samu  

 

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1. Ça a été une période dure mais aussi de bonheur, car on découvrait la médecine de première instance...  
2. Et bien que j’étais médecin depuis longtemps, j’ai fait mon apprentissage à l’hôpital Henri Mondor, à Créteil, où il y avait un mec exceptionnel, le professeur Pierre Huguenard  
3. J’ai été son élève, son disciple, ou comme je dis souvent, son premier couteau...  
4. A l’époque, c’était le fléau des accidents de voiture... on avait de sérieux cas en traumatologie...  
5. Médecins sans frontières est né par la suite, en 1971...  
6. Cela nous a permis de passer de l’urgence individuelle à l’urgence collective  
7. Je m’y suis beaucoup intéressé, apportant du secours aux populations en détresse, victimes des guerres, catastrophes naturelles dans les zones sinistrés ou les camps de réfugiés  

 

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1. J’ai vu disparaître la variole et apparaitre le SIDA...  
2. Puis je me suis fait nommer comme praticien à la prison de Fleury-Mérogis...  
3. C’est là que j’ai appris ce qu’était l’exclusion  
4. Avec les 4 grands éléments qui nous structurent, vous, moi, les uns, les autres. La perception du corps, du temps, de l’espace et des codes.  
5. Après 5 ans passés à la prison, je me suis fait nommer à Nanterre et c’est là que j’ai rencontré Patrick Declerck)  
6. C’est un type très cultivé il ne fait pas de la psychanalyse de salon...  
7. Il a vécu la vie dure, il est allé jusqu’à se faire ramasser par la police...  
8. Ça n’a pas duré longtemps, parce qu’il n’aimait pas les coups...  
9. c’est curieux...  
10. *philosophe, psychanalyste et anthropologue  

 

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1. Oui, car à l’époque, c’était la police qui s’occupait d’emmener les SDF dans les centres...  
2. en 1955 fut créée pour des raisons d’ordre, la BAPSA (Brigade d’Assistance pour Personnes sans-abri)  
3. les initiales PP pour Préfecture de Police signifiaient désormais «opération Poux/Puces »  
4. les personnes étaient emmenées dans des autobus infernaux jusqu’à Nanterre...  
5. parce que quand vous étiez à la rue vous étiez considérés comme hors la loi... va voir ailleurs si j’y suis toi! le vagabondage et la mendicité était un délit  
6. Encore aujourd’hui certains politiques emploient le mot «salir »... tous ces sdf sales dehors, c’est la Tehon, merde!  
7. Ca ne vient pas de nulle part, la question de la propreté et de l’hygiène ça a toujours été le leitmotiv des sociétés depuis le XIX ème siècle...    

 

 

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1. Quand j’étais médecin à Nanterre, j’ai vu des pathologies que non pas mes parents mais mes grands-parents ont dû voir, bien avant les antibiotiques...  
2. vous imaginez ce que ça représentait pour un médecin... je découvrais les tuberculoses par exemple...  
3. c’était fascinant!  
4. bref, j’étais médecin physique, et j’ai profité des connaissances psychiques de Patrick...  
5. c’est ainsi que l’idée du Samu Social a germé...  
6. Je voulais calquer ça sur le modèle du Samu, le principe de l’hôpital hors les murs...  
7. Le Samu Social réunirait les dispositifs médico-sociaux hors les murs...  
8. J’ai lutté parce que c’était une idée neuve, personne n’en voulait ni la DDASS, ni la Croix-Rouge  

 

 

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1. Il a fallu que je rencontre Chirac...  
2. et ça n’a pas été facile, j’étais plutôt de gauche, et lui, de l’autre bord...  
3. Je n’avais aucune raison de le rencontrer, mais de proche en proche, j’ai trouvé le moyen...  
4. Il était en train de monter la carte «Paris-Santé » l’ancêtre de la CMU. Et il était aussi challengé pour la présidentielle...  
5. J’avais écrit et détaillé mon dispositif jusqu’à la moindre virgule. J’ai fait le tour de ses conseillers, et des hauts fonctionnaires, personne n’y croyait... Samu Social? Mais ça n’a aucun sens! Mais enfin docteur on a toujours fait comme ça, c’est pas maintenant que ça va changer Ca ne marchera jamais votre truc  
6. Mais comme j’étais membre de MSF, on me recevait quand même...  
7. Docteur, nous n’allons pas mettre en place votre dispositif, vous allez faire apparaître une population que nous ne saurons traiter. Au bout d’un moment, je commençais à me décourager  

 

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1. Mais Chirac, il avait compris le coup de com...  
2. «la fracture sociale » c’était un slogan de l’époque. Il m’a donné un rendez-vous...  
3. J’ai fini par y arriver et on a créé un GIP (Groupe d’Intérêt Public)  
4. Les administrations se sont débarassées de leur personnel pour les mettre à ma dispostion...  
5. Evidemment, je ne récupérais pas les meilleurs. On me refourguait le syndicaliste pourri... mais bon ça marchait quand même...  
6. Pardon Monsieur...  
7. Le poulet, c’est pour?  
8. Heu...  
9. Et voilà, bon appétit!  
10. Merci. Soyez gentil, apportez-moi de la glace je vous l’ai demandé tout à l’heure.  

 

 

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1. Donc, victoire, le Samu social existait.  
2. Mes camarades du Samu, avec qui j’ai passé ma vie quand même, m’ont dit «t’as pas le droit de faire le Samu Social ».  
3. Je répondais «écoute, t’étais encore dans ton bac à sable que je faisais déjà le Samu »  
4. J’ai dû beaucoup me battre...  
5. Et pourquoi avoir gardé le terme «samu » pour ce dispositif?  
6. Vous qui êtes dans la bande dessinée, imaginez quelque chose qui n’existe pas...  
7. ...qu’un pauvre médecin de prison, MSF aussi, certes, veut imposer...  
8. Le mot «Samu Social » immédiatemment ça attirait l’oeil.  
9. Bref, quand Chirac a été élu président de la République, comme il voulait être en rupture, il m’a demandé si je voulais être secrétaire d’état...  
10. Secrétaire d’état, c’est un sous-ministre sans budget, voilà ce que ça veut dire au gouvernement  

 

 

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1. Ça été un choix difficile à faire, j’ai eu des remarques de la part de mes proches... (aller au gouvernement Chirac? tu plaisantes?)  
2. J’ai écouté les conseils... on te le proposera pas deux fois, fonce!  
3. J’ai beaucoup réfléchi...  
4. ... et j’ai décidé d’y aller  
5. J’ai fait créer le 115, par analogie au 15  
6. Ensuite, j’ai mis en place les Equipes Mobiles d’Aide, qui arpentent les rues de la ville pour porter secours aux usagers. J’ai fait appeler ça «Maraude »...  
7. Avant c’était un mot qui désignait les détrousseurs de cadavres...  
8. ... c’était péjoratif, j’ai fait passer un décret pour qu’il change de sens. On m’a dit que je me flinguais.  
9. Maintenant, tout le monde emploie le mot «maraude » sans savoir d’où ça vient.  

 

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1. Puis, on a mis en place les centres d’hébergement d’urgence et les pensions de famille.  
2. Comment avez-vous obtenu les hébergements?  
3. J’étais un peu le chouchou de Chirac, je n’étais pas opposant politique et surtout je servais sa com.  
4. Un jour je lui dis «il me faudrait des locaux » il me répond «docteur, j’ai ce qu’il vous faut ».  
5. Il m’amène à l’hospice Saint-Michel de Saint-Mandé qui était devenu un tas de ruines...  
6. C’est chez vous!  
7. J’ai fait installer des lits infirmiers  
8. On avait deux autres centres, un à Richard Lenoir, un ancien entrepôt de pompes funèbres...  
9. Et Montrouge avec une partie pour les hommes et une partie pour les femmes..  

 

 

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1. Mais, vous avez eu ces lieux avec le budget suffisant, pour les réhabiliter?  
2. Vous rigolez, la chasse au budget ça a été mon sport! c’est une chasse à court!  
3. Je suis allé voir les grandes entreprises...  
4. EDF fournissait l’électricité pour les centres... Peugeot prêtait les camions pour les Maraudes. Netslé offrait le ravitaillement.  
5. Un jour, pour les femmes je suis allé voir L’Oréal  
6. Et comme on me recevait toujours, j’ai vu la directrice de com... vous comprenez docteur, les femmes que vous recueillez, ce n’est pas tout à fait à notre image.  
7. Finalement, ils m’ont quand même rejoint et ces sponsors m’ont sauvé la mise.  
8. Ça a très bien marché pendant 18 ans...  
9. Mais les gens veulent ma peau. Pour eux, je n’étais pas légitime. Je n’étais pas de la gauche, poujadiste, je venais d’un gouvernement présumé de droite, et surtout j’étais médecin, donc je n’avais aucun droit  

 

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1. Au bout d’un moment, les pénuries de places en hébergement furent de plus en plus fréquentées. L’état a commencé à réquisitionner les hôtels sans étoile. Lui, lui, lui et lui aussi tiens Lui Lui Lui …    
2. Tout le fric que je me battais pour avoir passait entre les mains des marchands de sommeil.  
3. Face aux difficultés et ne pouvant plus faire fonctionner le dispositif comme c’était prévu au départ, je me suis senti dans l’obligation de démissionner.  
4. Les gens qui m’ont succédé défendent socialement et philosophiquement ce que j’ai toujours combattu...  
5. Vous comprenez, ils sont dans l’idéologie de la lutte des classes  
6. Les gens à la rue sont des «sans » sans-abri, sans-papiers, sans santé, sans éducation  
7. Car il y a des gens qui les ont privés de leurs droits donc on se bat pour qu’ils les récupèrent  
8. ... sauf qu’on ne définit pas les gens par ce qui leur manque!  
9. Les gauchistes américains ont amené le concept de «housing first » d’abord le logement...  

 

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1. Mais ils ont oublié que le grand phénomène de notre époque, ce sont les mégalopoles  
2. On ne peut pas trouver de logement, il n’y en a pas, et les loyers sont devenus tellement chers..  
3. Moi je suis d’accord avec le principe, à condition qu’on me dise ce qu’est un logement.  
4. Si c’est 4 murs et 1 toit on en trouve au cimetière de Montparnasse  
5. Le logement, c’est un habitat, les gens sont avec des liens  
6. Pouvoir traverser la rue, et avoir son PMU envoyer ses enfants à l’école du quartier, prendre le métro en bas de chez soi etc...  
7. Donc, pour moi le «housing first » c’est une impasse. Mon slogan c’est plutôt «caring first » / «housing fast »  
8. Du coup, depuis que vous en êtes partis, vous ne vous intéressez plus à ce qui s’y passe?  
9. Pas du tout! comment voulez-vous que je sois détaché c’est l’histoire de ma vie!  
10. Oui mais d’un côté vous semblez dire que ça ne vous regarde pas...  

 

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1. Ça ne peut pas ne pas me regarder  
2. C’est comme si je devenais la statue du commandeur. Rester dans un coin et dire «c’est pas comme ça qu’il faut faire »...  
3. Je ne peux pas, je n’avais qu’à pas partir  
4. Quand mon patron au Samu que j’aimais, vraiment a pris sa retraite, il a tenu à garder son bureau dans le service...  
5. ... mais les gens qu’il avait formés, qui s’étaient applatis devant lui durant des années, ils sont allés faire allégeance aux nouveaux.  
6. C’est humain!  
7. Je lui avais dit «écoutez professeur, vous devriez partir ». il m’avait répondu «non je reste pour les faire chier ».  
8. Mais qui il faisait chier en fait?  
9. Lui.  
10. Bref, je ne voulais pas avoir cette fin là.  
11. Je ne peux plus intervenir là- bas, à chaque fois que je demanderai quelque chose, je serai mis sur la touche. Ce n’est plus de ma génération.  

 

 

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1. Comme nous assistons à de grands mouvements de population, en particulier les migrants...  
2. ...et qu’on ne sort pas de l’idéologie du «housing first »...  
3. Ça ne marchera pas  
4. Vous voyez tout à l’heure, quand je vous ai vu sur le pas de la porte, je vous ai dit bonjour...  
5. ... j’ai créé du lien  
6. Ça ne se commande pas, ça fait partie des procédures implicites que l’on a.  
7. Il y a la fausse bonne idée, on transforme les bureaux en logements...  
8. Mais ça coûte cher parce qu’en plus il faut respecter les normes, que ce soit pour les PDG ou les SDF  
9. Le faux bon sens c’est ça qui tue les gens  
10. -  
11. Je peux vous faire un petit dessin?  

 

 

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1. Heu... oui bien sûr!  
2. Je ne veux pas me mesurer à vous hein, je vais juste faire un schéma!  
3. J’aurais honte d’ailleurs...  
4. Je ne vous ai pas dit, mon grand regret c’est de ne pas avoir été dessinateur...  
5. Ben, des regrets...  
6. On en a tous, non?  
7. Ah, mais attendez, ça dépend de l’âge qu’on a!  
8. Mais on ne peut pas tout faire...  
9. Bien sûr que si! on peut TOUT faire, arrêtez de dire des bêtises!  
10. -  
11. Voilà!  

 

 

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1. Le cercle des 4 grandes catégories d’exclus  
2. Les «sans-abri » anciennement appelés «clochards »: ils sont environ 10 000 dans l’agglomération parisienne. Ce sont des gens dans l’extrême abandon, avec des troubles psychiques plus ou moins importants. Ils ont souvent une forte dépendance à l’alcool. Ce sont des hommes incomplets, qui ont pu avoir de sérieux troubles dans leur enfance. Des enfants vidés, battus, autistes, qui n’ont pas eu la représentation d’eux mêmes et sont détachés de leur corps. On ne peut pas les remettre en insertion.  
3. Les «sans domicile fixe »: ils regroupent les toxicomanes, les malades psychiatriques, les étrangers en situation irrégulière. Ils ont besoin d’un suivi sur le long terme mais sont souvent dans l’incapacité de faire les démarches administratives ou vers le soin. Les institutions ne les voient pas, elles n’ont pas les moyens de suivre.  
4. Les sans toit stable: ce sont les gens du voyage, les marginaux, les jeunes gens parallèles à la société (ex: punks à chien) qui n’ont pas l’envie, ni les moyens d’être dans un système d’échange classique.  
5. Les migrants: c’est un phénomène qui débute, depuis la levée du rideau de fer, les sociétés ne seront plus jamais stables, sans parler des problèmes climatiques de plus en plus fréquents, qui risquent de faire s’accroître le nombre de réfugiés.  
6. Exclus: définition: René Lenoir, secrétaire d’état à l’action sociale sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing redéfinit le terme en 1974. Il désigne un groupe de personnes, inadaptées à la société et dont les institutions sont dans l’incapacité de subvenir à leurs besoins.    

 

 

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1. Et puis après, il y a ce qu’on appelle la pauvreté, mais c’est une connerie!  
2. Analyser un phénomène, micro sociétal à la lumière de l’économie  
3. Aujourd’hui par exemple, vous avez des personnes qui n’ont pas de solution parce qu’on va vivre très très longtemps...  
4. Ceux qui vont s’occuper d’eux vont vivre très très longtemps aussi, et n’auront plus les moyens de les entretenir  
5. Dans mes jeunes années on disait tout est politique  
6. ...maintenant on dit «tout est économique » «tout est entreprise »...  
7. Allez vous faitre foutre!  
8. Les êtres humains sont des êtres qui ont besoin de liens  
9. Voilà  
10. J’arrête de vous emmerder  
11. CLIC  

 

 

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Exclusion - Исключенность

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1. «Pendant la Grande Dépression, les Hobos sont des travailleurs itinérants qui sillonnent les Etats en quête de petits boulots. Ils sont un des résultats des changements profonds qui affectent la société américaine du début du XXème siècle, et, ils tentent de fuir la misère provoquée par la crise... »    
2. «... Le Hobo est par la suite devenu une figure mythique de l’imaginaire américain. C’est un personnage teinté de romantisme, épris de liberté, développant la faculté de survivre en dehors d’une société aliénante dont il n’a pas a subir les contraintes... »    
3. Si je comprends bien, finalement, il y a différentes formes d’exclusion selon la société dans laquelle on vit...    
4. Mais est-ce que l’exclusion est forcément synonyme de misère?    
5. Et pourquoi la société crée-t-elle des exclus?  
6. LE HOBO. Sociologie du sans abri  

 

 

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1. Dans toutes les civilisations et de tout temps, l’être humain s’efforce de créer des liens avec ses congénères par divers moyens...    
2. LES RITES    
3. LA CHASSE    
4. LES DIVERTISSEMENTS    
5. LE TROC    

 



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Дата создания страницы: 2018-12-19 Нарушение авторских прав и Нарушение персональных данных


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